Après une baisse qui a duré cinq ans, et dont on ne connaît toujours pas l’issue, la Bourse de Casablanca retrouve un niveau de cherté raisonnable lorsqu’on la compare à une dizaine de pays émergents d’Afrique ou d’Asie.
Toutefois, la question qui reste posée est de savoir si un tel niveau de cherté justifie un retour des investisseurs, aussi bien locaux qu’étrangers, sur la place casablancaise ( la suite sur Finances News Hebdo )