C’est le ministre de l'Education nationale et de la Formation professionnelle qui l’a dit.
Rachid Belmokhtar précise, à cet effet, que son département n'a émis aucun document préconisant la hausse des droits d'inscription des nouveaux élèves, considérant qu'il s'agit de "rumeurs dont l'origine est inconnue".
Au contraire, les droits d'inscription ont accusé une baisse de 9 dirhams grâce à l'utilisation du programme "Massar" qui a remplacé les cahiers de notes, souligne-t-il. Et de rappeler la hausse du montant du soutien social destiné aux catégories ne disposant pas de moyens suffisants pour scolariser leurs enfants (1,92 milliard de dirhams), et celle du nombre de bénéficiaires des services de transport scolaire (70.000 écoliers).