Un fait divers tragique survenu à l’hôpital provincial de Zagora a soulevé de vives réactions, à l’image de «Touche pas à mon enfant».
L'organisation crie au scandale et condamne vigoureusement cet acte barbare, qui a vu l'amputation d'une manière brutale de la main d'un nouveau-né innocent. L'enfant est né mort pendant l’accouchement, au cours de l’intervention chirurgicale.
L’organisation souligne que selon la loi, la procédure dans les hôpitaux consiste à confier le bébé à sa maman après sa naissance. Mais, dans le cas de ce bébé, le médecin responsable du bloc de la gynécologie a remarqué qu’il manquait au bébé en question un bras, amputé au niveau de l'épaule dans des conditions qui restent encore méconnues.
Après avoir constaté ce crime odieux, le praticien a informé le procureur général, qui a vite ordonné une enquête approfondie pour déterminer les tenants et les aboutissants de ce crime.
L'organisation «Touche pas à mon enfant» suit de très près l'évolution de cette affaire et entend poursuivre en justice les auteurs.
L’organisation, qui défend le droit et la dignité des enfants, réclame que justice soit faite et appelle le procureur général de la cour d'appel de Ouarzazate à accentuer les recherches pour identifier les auteurs.