"L'année 2023 serait un exercice foncièrement singulier entouré de fortes zones d'ombre et d'incertitudes à un tel point qu'un grand nombre de difficultés se sont mises au travers de l'anticipation des performances macro-économiques&
"Le Produit Intérieur Brut devrait évoluer de 1,8% pour atteindre le niveau de 1.335 milliards de dirhams aux prix courants correspondant à 4.050 dollars environ par tête", a indiqué le CMC dans sa récente note "INFO CMC". Néanmo
Le Centre marocain pour la citoyenneté (CMC) a saisi Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, au sujet des Marocains bloqués à l’étranger en
Le Centre Marocain de Conjoncture (CMC) prévoit un taux de croissance de 7,1% au titre de l’année 2021 dans son nouveau rapport annuel n° 53 intitulé "2022 : Relance en perspective” qui présente le bilan économique et social relatif à
La configuration des prévisions sectorielles retenues pour le scénario de référence a permis de dégager un taux de croissance négatif conjecturable du produit intérieur brut à prix constants de l’ordre de -3,2% pour l’exercice 2020.
Les performances de l'économie marocaine qui se profilent pour 2020 semblent largement prometteuses, en regard avec les résultats ténus enregistrés durant l'année en cours. C’est ce qu’a souligné, jeudi à Casabla
La croissance économique nationale devrait se situer à 4,6% en 2020, estime le Centre marocain de conjoncture (CMC) dans publication mensuelle "Maroc conjoncture". "Les performances de l'économie marocaine, qui se profilent en perspective pour 2020, semblen
L’orientation du cycle d’activité s’annonce en ce début d’année relativement plus favorable comparativement aux tendances passées.Les principaux facteurs agissant sur la dynamique de croissance, tant du coté de l’offre que de la demande, présentent des configurations en c
Le Centre marocain de conjoncture envisage "un redressement sensible" du cycle des affaires en 2015, avec un taux de croissance de 5,1%.Cette perspective, qui repose en grande partie sur les pronostics favorables pour les activités agricoles, s'inscrit en nette rupture par rapport aux fai
