Les conditions monétaires se sont assouplies au deuxième trimestre, avec une baisse de 22 points de base des taux débiteurs et une dépréciation du taux de change effectif réel, en lien avec l’appréciation de l’Euro et une inflation domestique plus faible globalement que celle des pays partenaires et concurrents. Dans ce contexte, estime Bank Al-Maghrib, le crédit bancaire au secteur non financier a enregistré une hausse de 4,3% au terme des sept premiers mois de l’année et devrait continuer à se renforcer graduellement, pour terminer l’année sur une croissance de 4,5% et progresser de 5% en 2018.■